Les pièges des pourcentages

Depuis la fin du Moyen Âge, on a pris l'habitude de ramener un effectif à cent pour comparer différentes données. La montée du système bancaire et des prêts à intérêts a encore renforcé l'utilisation des pourcentages pour définir des taux et calculer des augmentations et des baisses.
Très présents en économie, les pourcentages sont maintenant utilisés dans de nombreux autres domaines, envahissant le langage des journalistes et le discours politique. Leur maniement très délicat entraîne de multiples erreurs, amenant parfois de la confusion là où l'on voulait être clair et précis.

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Depuis l'Antiquité, on compare des données en simulant un effectif de 100. L'introduction des chiffres arabes a offert un rôle important aux pourcentages en amenant une vision claire et rapide de nombreuses données statistiques... à condition d'en avoir compris le mécanisme et de savoir compter !


Tout un chacun est amené à rencontrer des taux d'évolution. Leur maniement est souvent source d'erreurs alors qu'un outil simple et efficace permet de résoudre bien des problèmes : le coefficient multiplicateur.


Les pièges des taux

Hervé Lehning
Notre pensée semble naturellement additive. Si l'on ajoute 10% et à nouveau 10%, on voudrait que ce soit en tout 20%. Pourtant, c'est faux ! Les taux ne s'additionnent pas, ils se multiplient. Comment éviter les pièges des pourcentages ? Comment savoir ce que coûte un crédit ?


En bref : Ils sont parmi nous !

Bertrand Hauchecorne

Les pourcentages sont partout. Sachez en déjouer les pièges.



En bref : En économie aussi

Jacques Bair et Bertrand Hauchecorne

En économie, comme dans la vie courante, les taux sont omniprésents. Voyons comment.



En bref : L'économie mathématique

Les économistes ont souvent utilisé les pourcentages dans leurs modélisations



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