Promenade au pays des nombres

C'est toujours un plaisir, à Tangente, de retrouver les nombres, fidèles compagnons de route du mathématicien.
On les retrouve en effet partout : ils sont à la base de nos systèmes de numération, on s'interroge sur la répartition des nombres premiers, on s'émerveille devant leurs propriétés arithmétiques, comme avec le théorème des restes chinois...

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Le théorème des restes chinois doit son nom à l'intérêt des mathématiciens chinois de l'Antiquité pour les problèmes de rangement qu'il traduit. Au départ source d'énigmes, il a depuis trouvé des applications plus concrètes, en particulier en cryptographie.


Pourquoi pas une base 12 ?

Jérôme Gavin et Alain Schärlig
Si vous parlez d'histoire du calcul autour de vous, et quel que soit le sujet précis que vous traitez, vous pouvez vous attendre à ce qu'à la fin on vous pose cette question : pourquoi notre numération est-elle à base 10, alors qu'une base 12 nous serait bien plus pratique ?


Avec le développement de la théorie des probabilités au début du XXe siècle, un nouveau champ d'investigation s'offre à l'arithmétique : étudier les entiers d'un point de vue statistique. Paul Erdős est l'un des premiers mathématiciens à saisir la portée de cette nouvelle approche.


En bref : Application des restes chinois

Hervé Lehning et Bertrand Hauchecorne

Le théorème des restes chinois trouve, entre autres, des applications en cryptographie



En bref : Les mystères de l'os d'Ishango

Philippe Boulanger

Le mystérieux os d'Ishango n'a pas encore livré tous ses secrets



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